Par Un Temps Pluvieux

from Asterion by Dünya

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lyrics

Sombre, ne rien attendre
Qui ne se prêterait au sentiment,
D’onces et de crampes
Et pourtant plaire obstinément.

Las et ressacs qui s’entrelacent,
Me laissent aimant.
Amiante qui tarde
A me sortir de mes « comment » ?

Communs de l’espace aux interstices
Pour tout fragment.
Flagrant obstacles aux perceptions
Parfois tenaces.
Se cambre hélas où la vertu
Prêcherait l’asservissement.

Lacère en rythme
Et dompte sourd tout battement.

Irrigue ma fuite
Et dompte l’essor.
Rixe qui s’éclipse
Et coup du sort.
Rompre la suite
Et n’être plus corps.
Mars s’invite au grand confort
De perdre un œil.

Sombre, ne rien attendre
Qui ne se prêterait au sentiment,
D’onces et de crampes
Et pourtant plaire obstinément.

Las et ressacs qui s’entrelacent,
Me laissent aimant.
Amiante qui tarde
A me sortir de mes « comment » ?

Communs de l’espace aux interstices
Pour tout fragment.
Flagrant obstacles aux perceptions
Parfois tenaces.
Se cambre hélas où la vertu
Prêcherait l’asservissement.

Lacère en rythme
Et dompte sourd tout battement.

Irrigue ma fuite
Et dompte l’essor.
Rixe qui s’éclipse
Et coup du sort.
Rompre la suite
Et n’être plus corps.
Mars s’invite au grand confort
De perdre un œil.

La mécanique, merveille d’égos étriqués,
S’emballe, sanglée, s’accroche.
Sacerdoce d’effets, d’affects,
Bon dimanche et petites paillettes
Bordés de poudres aux urnes
Et purges d’espaces pillés.
De douces merveilles s’offrent à qui sait
S’essayer au affres esquissées par une main,
Démantelée.

Irrigue ma fuite
Et dompte l’essor.
Rixe qui s’éclipse
Et coup du sort.
Rompre la suite
Et n’être plus corps.
Mars s’invite au grand confort
De perdre un œil.

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from Asterion, released April 14, 2018

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